Ce que j’ai fait depuis la sortie des « Quatre Saisons avec Roberto Alagna »
Ci-dessus, Jacqueline Dauxois autoportrait à Garnier, 2017.
Ci-contre, Jacqueline Dauxois, autoportrait à Vienne, 2018 :
Ci-dessous, Jacqueline Dauxois et Roberto Alagna, tous les deux , un livre à la main.
Tout d’abord, je continue de ce que je fais depuis toujours : écrire des livres. Je poursuis aussi ce que je fais depuis quinze ans en bioéthique médicale.
Un peu avant la sortie des Quatre Saisons avec Roberto Alagna, en 2016, j’ai signé un contrat de scénariste pour un film tiré d’un de mes livres. J’avais fait une expérience de cet ordre lorsque Canal+ et La 6 avaient tiré cinq ou six téléfilms des Jupons de la Révolution (J.C.Lattès 1989). L’année dernière, j’ai écrit le premier scénario, j’attends la suite, sans trop savoir s’il y aura une suite, raison pour laquelle j’en parle peu. Je n’en parlerais pas du tout si je n’avais pas vu le film annoncé sur le site du metteur en scène et… sur le mien. Il y a même des gens qui ont publié leur opinion sur un film dont on n’a pas encore écrit le scénario final.
Presque tout de suite après la sortie des Quatre Saisons avec Roberto Alagna, j’ai créé un site où je publie mes « artimages » qui prolongent le livre autrement. Je n’avais jamais travaillé sur le Net. C’est très bien. J’ai publié quatorze articles sur Roberto Alagna. On les retrouve tous sur Google. Mes photos aussi.
Ci-dessous : si on cherche sur Google : »Turandot ROH, 2017″, on trouve 4 photos de moi en mélange et deux couvertures du livre, dont la photo de couverture est de moi, (Alagna dans l’Otello à Orange).
Ci-dessous, on demande : »Otello, Orange 2014″, réponse Google : 7 photos de moi en méli-mélo, mais pourquoi pas ? Il y a là un Canio, un Maurizio, deux photos de Roberto et Aleksandra, et, sur une autre page, un Manrico et un duo de l‘Elisir d’Amore.
Ci-dessous, Paillasse, toutes les photos sont de moi.
Chaque fois qu’on clique sur une photo, elle est signée, encore un clic et on est renvoyé à mon article correspondant, c’est correct, mais…
… mais comme je ne maîtrise rien du tout et qu’il y a très peu de photos de moi en circulation, la plus laide de toutes est arrivée sur ma page Wikipédia, laquelle s’est faite toute seule, elle aussi. Cette photo est plus laide que moi. Elle a été prise sans mon accord, au contraire j’avais demandé qu’on n’en fasse pas à ce moment, et j’avais la promesse. Si je pouvais la supprimer, je le ferais , comme je ne peux pas, je me console en me disant que si les gens me voient en vrai, ils auront une bonne surprise, enfin j’espère et c’est la raison pour laquelle ici j’en publie une ou deux qui me conviennent mieux.
En écrivant ces lignes, je suis allée regarder ce qui se passe en tapant juste mon nom. Ci-dessous, j’ai fait la copie d’écran à partie de la deuxième ligne parce que, à la première, il y a cette photo qui me déplait, mais voilà la suite, le mélange de s couvertures de mes livres et de mes photos.
En première pages, six fois la couverture de mon livre sur lui. Alagna à consommer sans modération ! je n’y suis pour rien, la machine est fan d’Alagna. Elle affiche aussi les couvertures de 17 de mes livres : Marie-Madeleine, Néfertiti, Anne de Kiev, Les Jupons de la révolution, Les Reines de légende, Rodolphe II l’empereur des alchimistes, Cléopâtre (en français et en italien), La Reine de Saba (en poche et en espagnol), Alexandra ( deux éditions différentes), Charlotte Corday (deux fois la même couverture, l’une des deux microscopique), plus les 6 couvertures des Quatre Saisons, plus 10 photos de lui toutes prises par moi, le mélange est très réussi, j’adore !
Si on descend, on trouve encore des photos de lui, et aussi d’Aleksandra Kurzak, plus bas encore Barbara Frittoli (là, j’ai arrêté de faire des copies d’écran). J’ai recommencé parce qu’ils ont intercalé une photo de moi que je supporte puisque c’est moi qui l’ai mise en ligne et comme elle est à côté d’une de lui (je l’ai prise pendant les répétitions d’Adrienne Lecouvreur à Monte-Carlo)…
Ci-dessous, cette photo d’Alagna (par moi) que Google reproduit à plusieurs emplacements.
… on ne regarde que lui, c’est idéal.
En même temps que le scénario et les « artimages », j’écrivais un un livre, c’est mon métier et ma passion.
Il va sortir en librairie dans trois mois, soit quinze mois après la sortie des Quatre Saisons. Il s’appelle : Le péché du roi David. J’ai corrigé les premières épreuves quand il neigeait sur Paris, après la crue de la Seine, et les secondes pendant que la glace fondait. L’éditeur est en train de choisir la couverture. Quand je l’aurai, je la mettrai sur le site.
Ce livre est lié aux intempéries à Paris, l’inondation et la neige de février 2018, c’était juste après la tempête sur New York, pendant Cav/Pag. Au retour, Paris semblait terne et soudain il y a eu ces caprices du temps. Ceux qui n’ont pas eu à en souffrir étaient contents. On skiait à Montmartre. On ne se couchait plus pour regarder les lumières dans la neige, on se levait avant le jour. D’abord, la Seine a gonflé, gonflé…
Ci-dessous, la pointe de l’Île Saint Louis.
Après l’eau, la neige, Montmartre était si joli.
Ci-dessous le théâtre de l’Atelier, quand tombe un soir de neige.
Place des Abbesses.
Place du Tertre.
Ici, on a tourné « Le Fabuleux destin d ‘Amélie Poulain ».
Ci-dessous, le Lapin Agile, l’un des derniers cabarets de Montmartre.
Il existe un lien entre ce livre et Robero Alagna. J’en parlerai la prochaine fois.
© texte et photos Jacqueline Dauxois
cette réflexion concerne l’Otello de Vienne .Comme chaque fois Mme Dauxois nous fait regretter de ne pas avoir entendu ce dernier opéra chanté par R. Alagna .Nous attendons avec impatience Samson et Dalila